Ils se mirent d'accord pour construire une sorte de machine à écrire vivante, dont les rouages étaient les suivants : des textes étaient écrits à l'avance, et lus lors de la performance ; un texte en direct était écrit sur une grande feuille de papier déposée à même la terre, au grè du vent et des traces de pas ; d'autres textes étaient imprimés par avance sur de grands tissus laissés flottant au vent.
Les textes écrits reprenaient un exercice déjà mis en pratique dans la revue, à savoir la fabrication de rêves-à-faire. C'est-à-dire, non pas de rêves racontés après avoir été subis, mais de textes reprenant le mode de narration et de construction spécifique au rêve.

 

 

Une machine à écrire vivante

 

 

 

les journées portes ouvertes